26 ans • Mécanicienne • Tamy Glauser • Âme en perdition
 

Look at Me  Tamara n'est pas un quelqu'un de très entreprenant, adoptant plutôt les situations de facilité ce qui fait d'elle une suiveuse et une fuyarde mais c'est ce qu'il fait qu'aujourd'hui elle est encore vivante. Malgré tout elle reste un bon élément dans un groupe, ses patrons l'apprécient car elle est travailleuse et volontaire seul son entêtement lui vaut ses discordes. Mais se frotter à elle n'est pas chose aisé car en femme très sportive elle est capable d'allier force, endurance et vitesse pour abattre la majorité de ses adversaires. Pourtant la vantardise ne fait pas partie de son vocabulaire elle préfère se faire discrète ce qui lui vaut souvent du désintérêt de la part du reste de la société. Ce côté solitaire indésiré attrait à sa curiosité et permit de développer son habilité. Depuis l'infection elle se révèle de plus en plus nerveuse restant constamment sur ses gardes. Par nature elle n'est pas vraiment généreuse c'est la dur loi de la vie qui le lui apprit, le partage est une notion qu'elle ne connaît qu'envers les gens en qui elle est redevable ou envers qui elle est fidèle. Physiquement elle est très masculine c'est la première chose qu'on voit en la regardant : des épaules carrés, du muscle principalement dans les jambes depuis l'apocalypse, des cheveux très court et un look à la jean basket. Mais son visage dégage quelque chose de féminin qui ne permet pas de la confondre avec un garçon. Elle environne les 1m70 et sa posture est souvent relâché. Cette jeune femme qui aime le rire et l'amusement possède également un très jolie sourire reluit de petites dents blanches.

 

This is my Story

 
C'est mon oncle qui m’éleva, je n'ai jamais connu mon père et l'entièreté de ma vie je ne connue ma mère que sur un lit d’hôpital. Mon oncle et ma mère sont nés et ont vécu au Brésil, ils parlaient peu Anglais et à cause d'eux j'ai vécu presque toute ma vie dans des dogmes racistes. On habitait dans un  des quartiers chaud d'Atlanta, dans une maison dont l'état était pitoyable mais au moins mon oncle pouvait y côtoyer des gens de son pays. C'est là-bas que j'ai grandis, j'allais à l'école mais je n'étais pas particulièrement doué, j'avais beau essayer tant bien que mal rien n'y faisait. Les mathématiques, la littérature, la musique... Toutes ces choses théoriques n'étaient pas vraiment faites pour moi. J'avais besoin de pratique, de technique, de démonstration concrète comme en sport, en chimie ou en mécanique. Au lycée rien n'allait en s'arrangeant, j'ai même fini par avoir de mauvaises fréquentations le genre qui te permettent d'avoir une vie moyennant confortable mais qui te faisait risquer de prendre une balle. Aujourd'hui tout le monde dit que les rôdeurs ont amenés l'enfer avec eux, mais essayez de vivre dans une banlieue pauvre des États-Unis et on en reparle.
Voilà comment j'ai fais mes poings dans ce monde, j'ai appris à tenir un flingue, à accuser les plus cons et crasher sur les plus faibles. Et aujourd'hui je suis encore en vie.
J'ai quitté tôt les bancs de l'école mais je m'en suis sortie. Je travaillais dans le garage de mon oncle, c'est lui qui m'a tout appris et même si certains vous diront que ce n'étais que le sale boulot d'un latino, de l'entièreté de ma vie je n'ai jamais connu un seul client insatisfait. La haute société ne me voyait que comme une brésilienne, bonne à faire des strip-teases ou à jouer au football. Mais dans le gang j'étais quelqu'un, on voyait mes vrais valeurs et on les exploitait en fonction.
Voilà comment se déroulait mon quotidien, je travaillais pour un salaire mensuel dans le garage de mon oncle jusqu'à sa mort où j'ai récupéré l'affaire, je trainais avec des types peu fréquentables pour gagner quelques billets à la fin du mois et je faisais du sport, beaucoup de sport. Le sport me permettait de m'évader, de me dire qu'un jour j'allais échapper à cette vie pleine de pauvreté et de violences.
Puis les morts se sont relevés. Mais ça n'a pas changé grand chose, je n'avais déjà plus de famille, je vivais déjà dans la pauvreté, je craignais déjà pour ma vie, je connaissais déjà le prix de la perte d'un ami. La seule chose qui a vraiment changé c'est que maintenant il n'y a plus de loi, plus de fausse justice, plus de favorisés... Maintenant on est tous dans la même merde !


 

Derrière l’Écran

 

Salut à vous amis survivants ! Et bien moi on me surnomme LostRio et j'ai 18 ans. Si vous voulez tout savoir, j'ai erré seul pendant longtemps avant d'arriver sur The MADProject grâce à un annuaire de forum rp et je pense que ma présence parmi vous sera d'environ 2-4 fois par semaine.    Ah et vous voulez savoir combien de rôdeurs j'ai tué ? Ok By Carol